Résilience Volcanique
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« Ma vie est un défi », le film/docu sur Yves Auberson

Yves Auberson est la personne qui m’a inspiré, qui m’a donné l’envie, qui m’a donné l’idée de mettre en chantier mon projet Résilience Volcanique. La suite, vous la connaissez et vous pouvez la revivre à travers les articles du blog.

L’article d’aujourd’hui ne me concerne pas directement, car il est consacré au défi que s’était lancé Yves : 1 000 km dans les Alpes suisses en 90 jours. Il y avait aussi un autre objectif sous-jacent qui était, comme il l’a dit lui-même, de motiver ne serait-ce qu’une personne à se dépasser et de montrer que, malgré la maladie, il est possible de réaliser des choses.

Autant vous le dire tout de suite, il a réussi son défi avec les différents objectifs supplémentaires. J’en suis la preuve.

Mais ce qui est intéressante avec le défi d’Yves Auberson, c’est qu’il a été filmé avant, durant et après son défi et qu’un documentaire en a été tiré. Celui-ci, « Ma vie est un défi », sortira dans une cinquantaine de salles de cinéma en France le 23 août prochain. Grace à la délégation France Parkinson du Puy-de-Dôme, à Jupiter Films et Orca Production, j’ai pu voir le film en ligne avant sa sortie. Il y a eu une projection en avant-première à Clermont-Ferrand le 9 juin dernier, mais je n’ai pu y assister.

Tout d’abord, ce film/docu affiche de belles images de paysages. Il faut dire que la Suisse s’y prête bien. Mais le cœur du sujet est bien Yves et son défi et comment il vit avec la maladie de Parkinson. Le documentaire ne fait pas dans le voyeurisme ni l’apitoiement, ce qui n’empêche pas Yves d’être sans tabou vis-à-vis des symptômes et de montrer, d’expliquer ce qu’il ressent. Il parle aussi des conséquences de la maladie sur sa vie personnelle et professionnelle, sur sa famille et ses amis. Bref, il parle ouvertement de la maladie, car, je le cite, « il n’y a pas de honte à être malade », ce que je valide à 100 %.

Sur le volet sportif, Yves était un ancien golfeur professionnel, mais aussi un adapte du triathlon et du trail. Malgré la maladie, il a « gardé » la forme, ce qui a dû l’aider à réaliser son défi, non sans difficultés.

La durée du docu,1h24, me semble ni trop courte ni trop longue. Cela permet de « découvrir » les différents aspects physiques du défi (préparatifs, déroulement, accompagnants, etc.), mais aussi le côté mental qu’il ne faut pas négliger.

D’un point de personnel, j’ai été très ému par ce documentaire. Même si je ne suis pas autant atteint par la maladie et que mon défi était plus court, les similitudes de plusieurs situations vécues sont flagrantes : météo, chute, accompagnants, « plein les yeux », etc., ce qui fait évidemment remonter des souvenirs.

Voilà mon petit retour sur « Ma vie est un défi ». Si vous êtes intéressé, je vous met la bande annonce ci-dessous et recherchez un cinéma proche de chez vous qui le diffuse. Si vous trouvez pas, le docu est déjà disponible en DVD.

Encore une fois, merci Yves.

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Merci !

Je sais, j’ai mis du temps à mettre à jour le blog avec les derniers jours du parcours.

Déjà, je devais me reposer, car mon corps en avait besoin. Et il y a le retour à la vie de tous les jours et cela occupe bien son monde. D’autant plus que les deux grands sont en pleine période d’examen (brevet des collèges et bac de français), ce qui fait que leur emploi du temps est bouleversé.

Donc, je trouve enfin le temps de vous dire dmerci.

Merci au Volcan de Lemptégy, à toute son équipe et particulièrement Philippe Montel et Marine Serieys. Merci à la commune d’Orcet, son Conseil Municipal et particulièrement M. le maire Dominique Guélon et François Marquet. Merci à McDonald’s Puy-de-Dôme et particulièrement Alain Soreau et Marie Lesage.

Merci à celles et ceux qui m’ont soutenus financièrement ou physiquement, en m’accueillant chez eux ou en m’accompagnant sur le parcours. Merci à Céline et Laurent, à Magali, à Anne, à Thomas, à Marie-Claude, à Rodey, à Lélie, à Pascaline et Yannick, à Sugaro, à Nathalie et Samuel, à Laurence et Jacky, à Alexandre, à Françoise, à Fabrice, à Sophie, à Fabien, à Framboise, à Nathalie, à Céline, à Régine, à Jean-Claude et à Marie.

Merci à celles et ceux que je connais pas et qui m’ont encouragé par des messages.

Merci respectueux à Yves Auberson.

Et un merci sans limite à ma femme et mes enfants pour leur support et aide au quotidien. Je vous aime profondément.

Merci à vous tous sans qui je n’aurais pu construire ce projet, le transformer en défi et le faire.

Merci !